Général Sir Arthur Currie
Le général Sir Arthur Currie, né le 5 décembre 1875 à Napperton, en Ontario, allait devenir un Canadien monumental pour ses actions pendant la Première Guerre mondiale.
Le général Currie a commencé sa jeunesse dans la milice canadienne où, pendant plusieurs années avant la Première Guerre mondiale, il a perfectionné ses connaissances et ses compétences militaires. Cela jouera plus tard un rôle important dans son succès. Currie n'avait aucune expérience militaire professionnelle lorsqu'il a finalement décidé d'être muté dans le Corps canadien et devait être en service actif. Indépendamment de son inexpérience par rapport aux officiers professionnels, Currie reçut le commandement de la 2e brigade d'infanterie en 1914 en raison de ses liens avec l'officier subalterne Garnet Hughes et son père Samuel Hughes, alors ministre canadien de la Milice et de la Défense.
Currie se montrera plus que compétent en tant que chef grâce à sa participation à des conflits tels que la deuxième bataille d'Ypres, le mont Sorrel, la bataille de la Somme et, bien sûr, la crête de Vimy. Le 9 juin 1917, quelques semaines après Vimy, le général Currie est anobli et devient le premier soldat né au Canada à commander le Corps canadien.
C'est à cette époque que le passé de Currie recevrait plus d'attention. Les histoires abondent de Currie, avant la guerre, détournant 10 000 $ pour les fonds du 50e Régiment afin de couvrir une dette personnelle. Sa tromperie s'est rapidement répandue dans les journaux canadiens et bien que le premier ministre Borden n'ait pas traduit en cour martiale le général légendaire du Canada, il a été contraint de contracter des emprunts pour rembourser sa dette.
Alors que l'examen politique se poursuivait sur le front intérieur, Currie et le Corps canadien remportaient des victoires durement disputées à la cote 70 et à Passchendaele en 1917. Les deux batailles s'avéreraient coûteuses pour les Canadiens et il faudrait sacrifier davantage de vies de l'Entente pour mettre fin à la guerre. . Cependant, les succès constants de Currie se sont avérés une formule gagnante. Le général canadien et le Corps canadien continueraient d'être victorieux jusqu'en 1918, en fait, les cent derniers jours de la guerre seraient considérés par beaucoup comme la plus grande réalisation du Canada et de Currie.
Après la guerre, Sir Arthur Currie retourna au Canada où il devint inspecteur général des forces de la milice au Canada et plus tard, principal et vice-chancelier de l'Université McGill, poste que Currie occupa à l'université jusqu'à sa mort en 1933.
Pour en savoir plus sur le général Currie et sur la façon dont il voulait « payer » la victoire avec « des obus, pas des vies », visitez notre En route vers VimyByng et Currie page Colline 70 : le plan de Currie, et notre 100 derniers jourspage.
Éducateurs : Cliquez ici pour un plan de leçon qui explore la réputation de Currieou celui-ci quiexplore l'expérience FWW du Canada.Aussi une ressource d'apprentissage plus courte: Feuille de travail Questions et réponses d'Arthur Currie (Taxonomie de Bloom)
Photo principale: Le général Sir Arthur Currie (montrant) avec des officiers lors d'un exercice en septembre 1917 (Crédit : IWM CO1970, mais illustréici).