![](https://valourcanada.ca/wp-content/uploads/2020/04/2RCRI_main.jpg)
2 RCRI
L'une des premières guerres que les jeunesDominationdu Canada avaitpourvisage était la guerre des Boers de 1899-1902.Le Canada s'est impliqué dans le conflit entre les Empire britannique et les colons hollandais (« Boers ») des républiques boers en Afrique du Sud. Parmi le public canadien Psentiments ro-Empire de Les Canadiens anglophones contrastent avec ceux des groupes plus isolationnistes des Québécois, des travailleurs et des agriculteurs. Reconnaissant la nature divisée de l'attitude de son pays à l'égard du conflit, le premier ministre de l'époque, Wilfred Laurier, a fait un compromis en appelant à une force composée uniquement de volontaires qui serait la contribution du Canada aux efforts de l'Empire britannique. Apprenez-en plus sur les efforts canadiens pendant la Seconde Guerre des Boers icietici.
Ainsi,laDeuxième bataillon (service spécial), Royal Canadian Regiment of Infantry (2 RCRI)était formé. Composée de 1 000 hommes répartis à parts égales entre huit compagnies, les troupes enthousiastes mais pour la plupart non entraînées étaient, selon les mots de leur commandant Lieutenant-colonel William Otter, "capable de pas grand-chose de plus que de former des rangs et de marcher sans trop souvent se déformer".
Malgré leur inexpérience, les 2 RCRI ont donné un excellent compte d'eux-mêmes dans leur premier engagement majeur, le Bataille de Paardeberg, un drift sur la rive nord de la rivière Modderentre 18-27Février 1900. Les Canadiens sont responsables de se faufiler près des lignes des Boers à 2 heures du matin le 27. Juste au moment où ils étaient sur le point d'atteindre les Boers, ils ont heurté un fil-piège, ce qui a entraîné une fusillade de plomb sur eux par les colons néerlandais.
L'expression « Retraite ! » a été entendu, et certains Canadiens ont commencé àbattre en retraiteà leurs lignes.Certains membres dudeux compagnies maritimes est resté en place et a continué à tirer sur les lignes boers. Ce feu soutenu fut suffisant pour convaincre le général boer Cronje de la futilité de sa position et il rendit bientôt ses 4 000 hommes de l'armée boer. Étant donné que les deux compagnies maritimes canadiennes ne comptaient pas plus de 250 hommes – pour la plupart de nouvelles recrues – il n'était pas surprenant que le moral des contingents britannique et canadien ait été assez important.
Le 2 RCRI et les contributions canadiennes subséquentes ont rapidement acquis la réputation d'être capables de frapper au-dessus de leur poids. Malgré le manque de « polissage de cour de caserne,” “Ils compensent largement cela en esprit et en élan et un certain air de volonté autonome de se débrouiller,», a déclaré le lieutenant EWB Morrison de la Royal Canadian Field Artillery.
![](https://valourcanada.ca/wp-content/uploads/2020/04/2RCRI_inset2.jpg)
Certains des fusils montés à cheval Strathcona en 1899, avant de se rendre en Afrique du Sud (Crédit : CanadaAtWarBlog.Wordpress.com).
Également de l'Ouest canadien est venu le Le cheval de Strathcona fusils montés, un régiment d'environ 500 hommes et 600 chevaux levé et financé entièrement par un particulier : Donald Alexander Smith, 1er baron Strathcona et Mount Royal, ou simplement connu sous le nom de Lord Strathcona. Composé de cavaliers expérimentés et de la Police à cheval du Nord-Ouest (le précurseur de la Gendarmerie royale du Canada d'aujourd'hui), le Strathcona a exigé relativement peu de formation et wavant l'une des forces les plus prêtes au combat à entrer sur le théâtre sud-africain. Leur mobilité et leur robustesse en ont fait l'une des forces les plus efficaces à la disposition des Britanniques, en particulier dans la dernière phase de la guerre lorsque les Boers, ayant réalisé leur incapacité à affronter les forces britanniques de front, se sont tournés vers des opérations de guérilla. .
Photo principale:Des membres du Royal Canadian Regiment traversant Paardeberg Drift en Afrique du Sud (Crédit : LAC M#3194539).