2 RCRI
L'une des premières guerres que les jeunesDominationdu Canada avaitpourvisage était la guerre des Boers de 1899-1902.Le Canada s'est impliqué dans le conflit entre les Empire britannique et les colons hollandais (« Boers ») des républiques boers en Afrique du Sud. Parmi le public canadien Psentiments ro-Empire de Les Canadiens anglophones contrastent avec ceux des groupes plus isolationnistes des Québécois, des travailleurs et des agriculteurs. Reconnaissant la nature divisée de l'attitude de son pays à l'égard du conflit, le premier ministre de l'époque, Wilfred Laurier, a fait un compromis en appelant à une force composée uniquement de volontaires qui serait la contribution du Canada aux efforts de l'Empire britannique. Apprenez-en plus sur les efforts canadiens pendant la Seconde Guerre des Boers icietici.
Ainsi,laDeuxième bataillon (service spécial), Royal Canadian Regiment of Infantry (2 RCRI)était formé. Composée de 1 000 hommes répartis à parts égales entre huit compagnies, les troupes enthousiastes mais pour la plupart non entraînées étaient, selon les mots de leur commandant Lieutenant-colonel William Otter, "capable de pas grand-chose de plus que de former des rangs et de marcher sans trop souvent se déformer".
Malgré leur inexpérience, les 2 RCRI ont donné un excellent compte d'eux-mêmes dans leur premier engagement majeur, le Bataille de Paardeberg, un drift sur la rive nord de la rivière Modderentre 18-27Février 1900. Les Canadiens sont responsables de se faufiler près des lignes des Boers à 2 heures du matin le 27. Juste au moment où ils étaient sur le point d'atteindre les Boers, ils ont heurté un fil-piège, ce qui a entraîné une fusillade de plomb sur eux par les colons néerlandais.
L'expression « Retraite ! » a été entendu, et certains Canadiens ont commencé àbattre en retraiteà leurs lignes.Certains membres dudeux compagnies maritimes est resté en place et a continué à tirer sur les lignes boers. Ce feu soutenu fut suffisant pour convaincre le général boer Cronje de la futilité de sa position et il rendit bientôt ses 4 000 hommes de l'armée boer. Étant donné que les deux compagnies maritimes canadiennes ne comptaient pas plus de 250 hommes – pour la plupart de nouvelles recrues – il n'était pas surprenant que le moral des contingents britannique et canadien ait été assez important.
Le 2 RCRI et les contributions canadiennes subséquentes ont rapidement acquis la réputation d'être capables de frapper au-dessus de leur poids. Malgré le manque de « polissage de cour de caserne,” “Ils compensent largement cela en esprit et en élan et un certain air de volonté autonome de se débrouiller,», a déclaré le lieutenant EWB Morrison de la Royal Canadian Field Artillery.
Également de l'Ouest canadien est venu le Le cheval de Strathcona fusils montés, un régiment d'environ 500 hommes et 600 chevaux levé et financé entièrement par un particulier : Donald Alexander Smith, 1er baron Strathcona et Mount Royal, ou simplement connu sous le nom de Lord Strathcona. Composé de cavaliers expérimentés et de la Police à cheval du Nord-Ouest (le précurseur de la Gendarmerie royale du Canada d'aujourd'hui), le Strathcona a exigé relativement peu de formation et wavant l'une des forces les plus prêtes au combat à entrer sur le théâtre sud-africain. Leur mobilité et leur robustesse en ont fait l'une des forces les plus efficaces à la disposition des Britanniques, en particulier dans la dernière phase de la guerre lorsque les Boers, ayant réalisé leur incapacité à affronter les forces britanniques de front, se sont tournés vers des opérations de guérilla. .
Photo principale:Des membres du Royal Canadian Regiment traversant Paardeberg Drift en Afrique du Sud (Crédit : LAC M#3194539).